Au Faso, on travaille, on prend de la peine mais ce sont les fonds qui manquent le plus

L’initiative de rédiger ce billet nait de ma profonde indignation à l’issue d’un débat houleux qui m’a récemment opposé à quelques amis burkinabés. Tout part d’une critique émise par ceux-ci à l’encontre des gardiens de nuit (qui touchent en moyenne 25 000 FCFA par mois) qui, apparemment passent la majeure partie de la nuit à rêver plutôt que de veiller sur leurs employeurs et les biens de ces derniers. Autre chose…